marți, 25 martie 2014

Comme Une Chanson Triste

 

Il m’arrive souvent d’être heureux
Sans qu’il y ait de raison précise
De toucher la main du Bon Dieu
De trouver les gens merveilleux
De sourire à tout ce qu’ils disent
L’orage devient une symphonie
Jouée par un batteur céleste
Tout ce qui m’ennuie dans la vie
Paraît facile et me sourit
Mais pourquoi si souvent aussi
 

Je me sens comme une chanson triste
Langoureux et malheureux
Comme une chanson en mineur
Avec des sanglots plein la voix
Comme si j’étais seul au monde
Abandonné perdu sans toi
Mais la vie est ainsi faite
Que toujours après la fête
 Le vent tourne et je reste
Une chanson qui n’en finit pas
Parfois je sens que tout va bien
A la minute où je m’éveille
Je chante en prenant mon bain
Je souris même à mon voisin
Je crois en tout je m’émerveille

Mais dans la tiédeur du bonheur
 Se glisse comme une main de glace
Pourquoi faut-il souffrir autant
Pour être heureux si peu de temps
Mais pourquoi dois-je aussi souvent
Me sentir comme une chanson triste
Langoureux et malheureux
Comme une chanson en mineur
Avec des sanglots plein la voix
Comme si j’étais seul au monde
Abandonné perdu sans toi
 
 
     

     Comme une chanson en mineur
    Avec des sanglots plein la voix
    Je me sens comme une chanson triste
    Comme si j’étais seul au monde
    Abandonné perdu sans voix
    Mais la vie est ainsi faite
    Que toujours après la fête
    Le vent tourne et je reste
    Comme une chanson triste
    Langoureux et malheureux .
 
Auteur : Claude  François



duminică, 23 martie 2014

Quand demain commencera sans moi

          Je dédie ce poème à tous ceux qui seront touchés par sa lecture …  

 
Quand demain commencera sans moi,
Que je ne serai plus là pour voir,
Si le soleil se lève pour découvrir tes yeux
Emplis de larmes pour moi ;
J’aimerais tellement que tu ne pleures pas
Comme tu as pleuré aujourd’hui,
En pensant à toutes ces choses
Que nous ne nous sommes pas dites.
Je sais combien tu m’aimes,
Autant que moi je t’aime,
Et chaque fois que tu penses à moi,
Je sais aussi que je te manquerai ;
Mais quand demain commencera sans moi,
S’il te plaît essaye de comprendre,
Qu’un Ange est venu, a appelé mon nom,
Et m’a pris par la main,
Et m’a dit que ma place était prête,
Aux cieux loin là-haut
Et que je devais laisser derrière moi
Tous ceux que j’aime tant.
Mais alors que je me tournais pour partir,
Une larme a coulé de mon œil
Car toute ma vie, j’avais toujours pensé,
Que je ne voulais pas mourir.
J’avais tellement à vivre,
Tant à faire encore,
Il semblait presque impossible
De te quitter.
J’ai pensé à tous les hiers,
Les bons et les mauvais,
J’ai pensé à tout l’amour que nous avons partagé,
Et tout le plaisir que nous avons eu.
Si je pouvais revivre hier
Même juste un instant,
Je te dirais au revoir et t’embrasserais
Et peut-être te verrais-je sourire,
Puis j’ai compris
Que cela ne pouvait plus être,
Car le vide et les souvenirs
Prendraient ce qui fut ma place.
J’ai pensé à toi, et alors
Mon cœur s’est empli de peine.
Mais quand j’ai franchi les portes du ciel,
Je me suis senti tellement chez moi
Quand Dieu m’a regardé et m’a souri,
Depuis son grand trône doré,
Il m’a dit : « Ceci est l’éternité,
Et tout ce que je t’ai promis.
Aujourd’hui ta vie sur terre est passée
Mais elle commence ici de nouveau
Je ne promets aucun lendemain,
Car aujourd’hui durera toujours,
Et puisque chaque jour est le même chemin,
Il n’y a aucun passé à regretter.
Tu as été si fidèle,
Si confiant et si vrai.
Bien que parfois
Tu aies fait certaines choses
Que tu savais ne pas devoir faire.
Mais tu as été pardonné
Et maintenant enfin tu es libre.
Alors veux-tu venir et prendre ma main
Et partager ma vie avec moi ? »
Alors quand demain commencera sans moi,
Ne crois pas que nous soyons éloignés,
Car chaque fois que tu penses à moi,
Je suis là dans ton cœur. 

            
                Je dédie ce poème à tous ceux qui seront touchés par sa lecture …
Poème de David M. Romano                 

luni, 17 martie 2014

Pourquoi mon âme est-elle triste ?

 
 


Pourquoi mon âme est-elle triste ?
Pourquoi gémis-tu sans cesse,
O mon âme ? réponds-moi !
D'où vient ce poids de tristesse
Qui pèse aujourd'hui sur toi ?

Et qu'est-ce que la terre? Une prison flottante,
Une demeure étroite, un navire, une tente
Que son Dieu dans l'espace a dressé pour un jour,
Et dont le vent du ciel en trois pas fait le tour !
Des plaines, des vallons, des mers et des collines

Où tout sort de la poudre et retourne en ruines,
Et dont la masse à peine est à l'immensité
Ce que l'heure qui sonne est à l'éternité!
Fange en palais pétrie, hélas ! mais toujours fange,
Où tout est monotone et cependant tout change !


Et qu'est-ce que la vie ? Un réveil d'un moment !
De naître et de mourir un court étonnement !
Un mot qu'avec mépris l'Etre éternel prononce !
Labyrinthe sans clef ! question sans réponse,
Songe qui s'évapore, étincelle qui fuit !
Eclair qui sort de l'ombre et rentre dans la nuit,

Minute que le temps prête et retire à l'homme,
Chose qui ne vaut pas le mot dont on la nomme !
Et qu'est-ce que la gloire ? Un vain son répété,
Une dérision de notre vanité !
Un nom qui retentit sur des lèvres mortelles,
Vain, trompeur, inconstant, périssable comme elles,
Et qui, tantôt croissant et tantôt affaibli,
Passe de bouche en bouche à l'éternel oubli !
Nectar empoisonné dont notre orgueil s'enivre,
Qui fait mourir deux fois ce qui veut toujours vivre !

Et qu'est-ce que l'amour ? Ah ! prêt à le nommer
Ma bouche en le niant craindrait de blasphémer !
Lui seul est au-dessus de tout mot qui l'exprime !
Eclair brillant et pur du feu qui nous anime,
Etincelle ravie au grand foyer des cieux !
Char de feu qui, vivants, nous porte au rang des dieux !
Rayon! foudre des sens ! inextinguible flamme
Qui fond deux coeurs mortels et n'en fait plus qu'une âme !
Il est !... il serait tout, s'il ne devait finir !
Si le coeur d'un mortel le pouvait contenir,
Ou si, semblable au feu dont Dieu fit son emblème,
Sa flamme en s'exhalant ne l'étouffait lui-même !


Mais, quand ces biens que l'homme envie
Déborderaient dans un seul coeur,
La mort seule au bout de la vie
Fait un supplice du bonheur !
Le flot du temps qui nous entraîne
N'attend pas que la joie humaine
Fleurisse longtemps sur son cours !

Race éphémère et fugitive,
Que peux-tu semer sur la rive
De ce torrent qui fuit toujours ?
Où suis-je? Est-ce moi ? Je m'éveille
D'un songe qui n'est pas fini !
Tout était promesse et merveille
Dans un avenir infini !
J'étais jeune !... Hélas ! mes années
Sur ma tête tombent fanées
Et ne refleuriront jamais !
                                   
Mon coeur était plein !... il est vide !                                            
Amour ! se peut-il que ta flamme
Meure encore avant la beauté ?
Hélas ! dans une longue vie
Que reste-t-il après l'amour ?
Dans notre paupière éblouie
Ce qu'il reste après un beau jour !
Ce qu'il reste à la voile vide
Quand le dernier vent qui la ride
S'abat sur le flot assoupi,
Ce qu'il reste au chaume sauvage,
Lorsque les ailes de l'orage
Sur la terre ont vidé l'épi !

Et pourtant il faut vivre encore,
Dormir, s'éveiller tour à tour,
Et traîner d'aurore en aurore
Ce fardeau renaissant des jours?
Quand on a bu jusqu'à la lie
Mon sein fécond ... il est aride !
J'aimais !.., où sont ceux que j'aimais ?
Je vois passer, je vois sourire
La femme aux perfides appas
Qui m'enivra d'un long délire,
Dont mes lèvres baisaient les pas !
Ses blonds cheveux flottent encore,
Les fraîches couleurs de l'aurore
Teignent toujours son front charmant,


Et dans l'azur de sa paupière
Brille encore assez de lumière
Pour fasciner l'oeil d'un amant.
La foule qui s'ouvre à mesure
La flatte encor d'un long coup d'oeil
Et la poursuit d'un doux murmure
Dont s'enivre son jeune orgueil;
Et moi! je souris et je passe,
Sans effort de mon coeur j'efface
Ce songe de félicité,

Et je dis, la pitié dans l'âme :
Amour ! se peut-il que ta flamme
Meure encore avant la beauté ?
Hélas ! dans une longue vie
Que reste-t-il après l'amour ?
Dans notre paupière éblouie
Ce qu'il reste après un beau jour !
Ce qu'il reste à la voile vide
Quand le dernier vent qui la ride
S'abat sur le flot assoupi,
Ce qu'il reste au chaume sauvage,


Lorsque les ailes de l'orage
Sur la terre ont vidé l'épi !
Et pourtant il faut vivre encore,
Dormir, s'éveiller tour à tour,
Et traîner d'aurore en aurore
Ce fardeau renaissant des jours?
Quand on a bu jusqu'à la lie
La coupe écumante de vie,
Ah ! la briser serait un bien !
Espérer, attendre, c'est vivre !
Que sert de compter et de suivre
Des jours qui n'apportent plus rien ?

Voilà pourquoi mon âme est lasse
Du vide affreux qui la remplit,
Pourquoi mon coeur change de place
Comme un malade dans son lit !
Pourquoi mon errante pensée,
Comme une colombe blessée,
Ne se repose en aucun lieu,
Pourquoi j'ai détourné la vue
De cette terre ingrate et nue,
Et j'ai dit à la fin : Mon Dieu !

Comme un souffle d'un vent d'orage
Soulevant l'humble passereau
L'emporte au-dessus du nuage,
Loin du toit qui fut son berceau,
Sans même que son aile tremble,
L'aquilon le soutient ; il semble
Bercé sur les vagues des airs ;
Ainsi cette seule pensée
Emporta mon âme oppressée
Jusqu'à la source des éclairs !

C'est Dieu, pensais-je, qui m'emporte,
L'infini s'ouvre sous mes pas !
Que mon aile naissante est forte !
Quels cieux ne tenterons-nous pas ?
La foi même, un pied sur la terre,
Monte de mystère en mystère
Jusqu'où l'on monte sans mourir
J'irai, plein de sa soif sublime,
Me désaltérer dans l'abîme
Que je ne verrai plus tarir !

J'ai cherché le Dieu que j'adore
Partout où l'instinct m'a conduit,
Sous les voiles d'or de l'aurore,
Chez les étoiles de la nuit ;
Le firmament n'a point de voûtes,
Les feux, les vents n'ont point de routes
Où mon oeil n'ait plongé cent fois ;
Toujours présent à ma mémoire,
Partout où se montrait sa gloire,
Il entendait monter ma voix !
Je l'ai cherché dans les merveilles,
Oeuvre parlante de ses mains,
Dans la solitude et les veilles,
Et dans les songes des humains !
L'épi, le brin d'herbe, l'insecte,
Me disaient : Adore et respecte !
Sa sagesse a passé par là !


Et ces catastrophes fatales,
Dont l'histoire enfle ses annales
Me criaient plus haut : Le voilà !
Et maintenant, dans ma misère,
Je n'en sais pas plus que l'enfant
Qui balbutie après sa mère
Ce nom sublime et triomphant ;
Je n'en sais pas plus que l'aurore,
Qui de son regard vient d'éclore,
Et le cherche en vain en tout lieu,
Pas plus que toute la nature
Qui le raconte et le murmure,
Et demande : Où donc est mon Dieu ?

Voilà pourquoi mon âme est triste,
Comme une mer brisant la nuit sur un écueil,
Comme la harpe du Psalmiste,
Quand il pleure au bord d'un cercueil !
Comme l'Horeb voilé sous un nuage sombre,
Comme un ciel sans étoile, ou comme un jour sans ombre,
Ou comme ce vieillard qu'on ne put consoler,
Qui, le coeur débordant d'une douleur farouche,
Ne pouvait plus tarir la plainte sur sa bouche,
Et disait : Laissez-moi parler !

Mais que dis-je ? Est-ce toi, vérité, jour suprême !
Qui te caches sous ta splendeur ?
Ou n'est-ce pas mon oeil qui s'est voilé lui-même
Sous les nuages de mon coeur

Ces enfants prosternés aux marches de ton temple,
Ces humbles femmes, ces vieillards,
Leur âme te possède et leur oeil te contemple,
Ta gloire éclate à leurs regards !
Et moi, je plonge en vain sous tant d'ombres funèbres,
Ta splendeur te dérobe à moi !
Ah ! le regard qui cherche a donc plus de ténèbres
Que l'oeil abaissé devant toi ?




Dieu de la lumière,
Entends ma prière,
Frappe ma paupière
Comme le rocher !
Que le jour se fasse,
Car mon âme est lasse,
Seigneur, de chercher !
Astre que j'adore,
Ce jour que j'implore
N'est point dans l'aurore,
N'est pas dans les cieux !
Vérité suprême !
Jour mystérieux !
De l'heure où l'on t'aime,
Il est en nous-même,
Il est dans nos yeux !

 Lamartine, Alphonse (1790-1869) Harmonies poétiques et religieuses


sâmbătă, 15 martie 2014

Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes

Depuis des siècles les poètes ont célébré la subtilité, la puissance, la magie, le mystère de l’Amour.Les paroles sont des pensées et des émotions exprimées verbalement.Le souffle du vent a séché mes larmes de pluie et caressé ma joue. Le battement des ailes des oiseaux accompagne celui de mon cœur qui leur sourit, ému…
A la fin du jour, mes pensées vont vers toi.. .Tes mots ont touché mon âme,
 de mon cœur et tu as écrit ton Amour sur ma peau. Tes phrases sont des poésies tendres et tu les déclames dans la douceur de ton regard.
  Chaque étincelle d’émotion qui s’allume illumine la nuit. Les lucioles dansent en tourbillon et dessinent nos initiales qui s’enlacent. Tes mots ont la couleur dorée du miel gourmand. Tu les as    déposés au creux de mes lèvres après me les avoir écrits.  Ils sont en moi et m’accompagnent dans mes rêves éblouis. Mes pensées te rejoignent et se sont    déposées sur mon oreiller… 
En ce qui me concerne, les sentiments que ta présence éveillait en moi étaient vraiment extraordinaires.
Nous n’aurons, semble-t-il, ce que nous désirons et prétendons aimer, la sagesse, qu’après notre mort, ainsi que notre raisonnement le prouve, mais pendant notre vie, non pas.. Et cela serait impossible si notre âme n’avait pas existé quelque part avant de s’unir à notre forme humaine. Aussi peut-on conclure de là que l’âme est immortelle.



vineri, 7 martie 2014

''L'Aimé est tout en tout, celui qui aime Le voile seulement''

 
 


Chaque être vivant a un but dans la vie et c'est la connaissance de ce but qui rend chaque âme capable de le remplir.
 Beaucoup d'êtres qui errent dans l'obscurité pendant leur vie, c'est à cause de l'absence de  la connaissance du but de la vie.
 Un homme peut avoir succès ou échec, il peut sembler être heureux ou malheureux, mais en réalité il ne vit pas; car la vie commence à partir du moment où il a découvert le but de sa vie.
Au lieu d'arriver à l'idée réelle, ils entrent dans la confusion, car chaque idée nouvelle les trouble encore plus.
 C'est le bonheur de l'âme d'être libre de son fardeau physique, mais elle ne pourra être heureuse que lorsqu'elle pourra être seulement elle-même.
Mais l'erreur tient dans le fait que, quel que soit le pouvoir que puisse avoir un homme, il est limité. Malgré l'accroissement du pouvoir, il vient un moment où l'on s'aperçoit qu'il peut y avoir un pouvoir plus grand que celui qu'on possède. Cette limitation fait souffrir l'homme, il en devient déçu.
S'il existe un quelconque pouvoir, c'est le pouvoir caché, le pouvoir tout-puissant. Et c'est en entrant en contact avec ce pouvoir qu'on commence à tirer de lui tout le pouvoir qui est nécessaire.
L'homme cherche le bonheur dans le plaisir, la joie, mais ce ne sont que les ombres du bonheur. Le vrai bonheur est dans le cœur de l'homme; mais il ne l'y cherche pas c'est pourquoi elle recherche le bonheur.
 Le péché et la vertu, le bien et le mal, le juste et le faux peuvent être distingués et déterminés grâce à ce principe: ce qui apporte un bonheur réel ne peut être mauvais, c'est une vertu. Ce ne sont pas le repos ou le confort ou la solitude qui peuvent lui apporter la paix. C'est un art qui doit être appris, c'est l'art des mystiques par lequel on arrive à l'expérience de la paix. On pourra demander: "S'il est naturel pour l'âme de faire l'expérience de la paix, pourquoi doit-on faire des efforts pour obtenir la paix par des pratiques, par la méditation, par la contemplation?  C'est pour cette raison que nous avons besoin de l'art de découvrir la paix à l'intérieur de nous. Ce n'est pas en rendant les conditions extérieures meilleures que nous ferons l'expérience de la paix. L'homme a toujours rêvé de paix et il a toujours provoqué des guerres.  C'est pourquoi l'homme vit dans un tumulte constant, dans une condition agitée, et afin de tenter de trouver la paix, il cherche la guerre. Si cela continue quelques années de plus, nous n'aurons pas la paix, car chacun doit d'abord chercher la paix à l'intérieur de lui-même.
 Brièvement expliqué, cela signifie que le but de la création est que chaque âme puisse reconnaître sa source et son but et s'y soumettre, et qu'elle puisse attribuer à cette source et à ce but toute beauté, sagesse et pouvoir, et ainsi faisant puisse se rendre parfaite. Comme le dit la Bible: "Soyez parfaits, comme votre Père au Ciel est parfait".
L'Alchimie du Bonheur Pir-o-Murshid Hazrat Inayat Khan 


miercuri, 5 martie 2014

To be, or not to be


To be, or not to be: that is the question:
Whether 'tis nobler in the mind to suffer
The slings and arrows of outrageous fortune,
Or to take arms against a sea of troubles,
And by opposing end them? To die: to sleep;
No more; and by a sleep to say we end
The heart-ache and the thousand natural shocks
That flesh is heir to, 'tis a consummation
Devoutly to be wished. To die, to sleep;
To sleep: perchance to dream: ay, there's the rub;
For in that sleep of death what dreams may come
When we have shuffled off this mortal coil,
Must give us pause: there's the respect
That makes calamity of so long life;
For who would bear the whips and scorns of time,
The oppressor's wrong, the proud man's contumely,
The pangs of despised love, the law's delay,
The insolence of office and the spurns
That patient merit of the unworthy takes,
When he himself might his quietus make
With a bare bodkin? Who would fardels bear?
To grunt and sweat under a weary life,
But that the dread of something after death,
The undiscovered country from whose bourn
No traveller returns, puzzles the will
And makes us rather bear those ills we have
Than fly to others that we know not of?
Thus conscience does make cowards of us all;
And thus the native hue of resolution
Is sicklied o'er with the pale cast of thought,
And enterprises of great pith and moment
With this regard their currents turn awry,
And lose the name of action. - Soft you now!
The fair Ophelia! Nymph, in thy orisons
Be all my sins remembered.
 ( of William Shakespeare's from Hamlet 3/1)

marți, 4 martie 2014

Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes

                         

Dans ce bas et triste monde, hélas la société
Et si dure à vivre et surtout sans aucune pitié
Elle n’a pas de place pour l’amour et l’amitié
Elle offre plutôt le désespoir, l’amertume à volonté

Elle n’offre que de la souffrance et de la haine
Elle n’ouvre aucune porte à la joie et au bonheur
On vit sans cesse dans la peur de nos malheurs
Contrainte et forcé par cette société qui peine

Alors je dis ouvrons, tous les yeux ne laissons pas cette société
Nous détruire la vie ainsi sans réagir et offrons plutôt l’amitié
L’amour à volonté sans haine, dans la joie de vivre tout bonnement
Unissons-nous pour combattre cette société néfaste tout simplement

Ouvrons nos cœurs à ceux qui souffrent et qui en n’ont besoin
Ne restons surtout pas insensible oui aux malheurs des autres
Libérons-nous de cette société qui nous pousse à vivre seuls dans nos coins
Apprenons bien sur à nous connaitre et soutenons-nous les uns les autres.

Si cela nous semble dur à faire, à nous ouvrir aux autres, demandez de l’aide à Dieu
Afin qu’il ouvre nos cœurs, qu’il met en nous, la tolérance, la compassion, et l’amour
Pour devenir des personnes respectables, meilleures, car dans la vie cela est si précieux
Nous nous  sentons  bien mieux de vivre malgré cette triste société, le cœur léger toujours.


                      Poèmes La compassion dans l'amour de son prochain
                                               doucepoesie