Coupable d'être moi, demeure l'abîme intérieur, le désert sans nom. La douleur de l'âme pèse plus que la souffrance du corps. La douleur de mon âme ne peut pas être expliquée...la douleur se manifeste dans son intensité!...
Et malgré ça, mon corps ne la supporte plus est la ballade sans but. À moins que ce soit l'inverse, peu d'émonder le veut, sauf les plus désespérés, qui sont prêts à tout. Je m'avance avec une quête non définie; il n’est pas bruyant, sans trop réfléchir, sans trop savoir ce que ça implique.
C’est des sentiments que je ne sais pas porter....
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